Et là, surprise ! On a l’impression que le corps s’est
habitué, le sac ne pèse plus si lourd, les muscles ne sont pas si endoloris et
les articulations fonctionnement bien. On sait qu’aujourd’hui encore on va
découvrir une nouvelle facette de cette montagne. Ce sera la journée des lacs
et des balcons fleuris.
La descente du refuge Elisabetha S. nous conduit vers les
marécages du lac Combal qu’agrémente une flore très riche.
C’est presque euphoriques que nous traversons cette zone plate qui se prolonge par le Val Vény. Mais notre euphorie cesse bientôt car le chemin du Tour part à droite et monte très raide et très longtemps.
Nous laissons à gauche le lac de Miage et dans les pas des canadiens nous grimpons jusqu’à un premier petit lac sans nom. Nous parvenons à un chalet qui donne envie de faire une halte mais il fait froid et il y a du vent : montons encore. Les prés sont garnis de fleurs sauvages, le chemin avance en balcon, c’est tellement joli.
C’est presque euphoriques que nous traversons cette zone plate qui se prolonge par le Val Vény. Mais notre euphorie cesse bientôt car le chemin du Tour part à droite et monte très raide et très longtemps.
Nous laissons à gauche le lac de Miage et dans les pas des canadiens nous grimpons jusqu’à un premier petit lac sans nom. Nous parvenons à un chalet qui donne envie de faire une halte mais il fait froid et il y a du vent : montons encore. Les prés sont garnis de fleurs sauvages, le chemin avance en balcon, c’est tellement joli.
Il fait bon, c’est très agréable. Encore une fois, nous nous sommes octroyés un arrêt un peu long. Nous reprenons notre route mais l’après-midi, c’est toujours plus difficile : la chaleur, la digestion,la fatigue, la lassitude.
A Maison-Vieille, plusieurs randonneurs sont déjà en mode
détente : orteils à l’air, affalés dans les transats, une boisson fraîche
à portée de main. C’est tentant. Mais non, notre organisation « prévue
d’avance » nous oblige à avancer vers Courmayeur.
Oui, c’est bien en descente mais quelle descente ! Sur
une piste de ski pleine de cailloux désagréables. Décidément, je n‘aime pas les
descentes. Heureusement nous terminons par un tout petit chemin en sous-bois.
Ouf, enfin Courmayeur !
Le quartier de Dolonne d’abord, magnifique avec ses petites ruelles, ses lavoirs et son air moyen-âgeux.
Il fait un temps splendide. La biafine sera la bienvenue ce soir ! Quelle journée, une des plus chaudes mais si bien remplie encore !
Le quartier de Dolonne d’abord, magnifique avec ses petites ruelles, ses lavoirs et son air moyen-âgeux.
Il fait un temps splendide. La biafine sera la bienvenue ce soir ! Quelle journée, une des plus chaudes mais si bien remplie encore !
Notre refuge s’appelle Funivia. Il est situé à la Palud. Il
est juste parfait. L’accueil y est top, le cadre superbe. La chambre de 4 nous
permet de faire une nuit de 10h sans interruption.
Au final, 5h35 pour 4h40
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